Allongé sur les rochers brulants surveillé du regard par le soleil, mon esprit dans les bras du vent, m'emmena au bord du sommeil Lorsque recouvert d'un voile noir, mes yeux distinguèrent la silhouette de celle que j'espère chaque soir, restée cachée dans les ombres violettes La chaleur de ton corps lové contre le mien, fit tomber les ombres comme des dominos m'ouvrant la porte et la lumière du souterrain, envouté par le parfum suave de ta peau Le goût merveilleux de tes lèvres laissant mon corps en fièvre, par une caresse dans mes cheveux me déposant au dessus des dieux Ceci voulant reprendre leurs droits, n'acceptant pas de partager le bonheur, firent venir la pluie et le froid pour faire taire l'espoir dans mon cœur Les gouttes faisant fondre ton corps ton visage au creux de mes mains, un dernier baiser déposé en vain mes larmes tombèrent plus fort, ne voulant croire ce rêve mort .

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