Sur les ailes du temps De tes six ans Que tu n’auras jamais Dans ce monde incertain et si imparfait Des mots doux qui flottent, qui tanguent Sur cette mer de ma vie, déchainée, presque exsangue Tu me manques Clément Bien au delà de l’océan C’est un tremblement éternel Qui caressent le rêve , l ‘éphémère et l’irréel C’est quand tu as rencontré l’essentiel De quelqu’un que tu ne peux plus t’en séparer Tu me sembles pourtant si loin Là où ta vie poursuit peut-être son chemin Dans ce ciel immense Pendant que moi , j’ai mal à ton absence L’amour n’est pas un feu sacré Qu’on ne peut plus, ici bas, te donner Qu’on enfouit dans nos âmes meurtries, ta voix, tes yeux Mes larmes et ton sourire si malicieux Tu es toujours et à jamais ancré moi, mon bien Aimé Comme une grâce qui m’est accordée Mon pays a changé de nom, mais pourquoi ? A cause de qui ? de quoi ? J’ai mal de toi, j’ai mal de ton absence Je dors avec ton souvenir, d’errances en errances Et ce présent qui me retient De te rejoindre un beau matin Je le crie, je l'hurle en silence contre ce mur De cette brèche béante que tu laisses comme une fêlure Clément d’ Amour, tu as fait partie de mon passé Pour être à tout jamais présent dans mon futur Je t’aime et le décline infiniment Poésie composée le 28 septembre 2010 à 07h02 Ton papi qui t’Aime et qui pense tous les jours à toi .

Liens commerciaux